Ma mère
Comme Dieu ne voulait pas tout faire seul, il créa la mère.
Il y a des gens simples qui se sentent inférieurs devant le savoir de leurs enfants; pourtant, ces derniers n’atteindront jamais la connaissance de toutes les choses qui ne peuvent s’apprendre que par soi-même.
De nos parents, embellissons le soir de la vie, comme ils ont embelli l'aurore de la nôtre.
Dans le cœur de chaque mère fleurit un jardin d'amour.
Honore ton père et ta mère afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Éternel, ton dieu, te donne.
Une maman c'est la vie,
Maman est encore là,
Chaque fois que j’ai de la peine.
Elle prend tant de peine et essuie mes larmes.
Peur pour moi, me protège, et me conseille.
Et, remets le train de vie sur la route,
Quand j’ai des soucis tout redeviens noir
Maman ouvre son cœur, plein d’espoir
Me serre dans ces bras partage mes soucis,
Et, me guide sur le bon chemin de la vie.
Une maman c'est pour la vie
Toujours présente pour m’écouter et m'aimer.
Avec son amour, sa tendresse, sa douceur.
Une maman est précieuse car, elle protège son enfant,
Et reste toujours dans son cœur, plein d'amour.
Car petit ou grand, maman s'inquiète toujours,
Jusqu'a son dernier souffle,
Car en me donnant la vie,
Une partie d'elle vie en moi son enfant.
Je t'aime maman, et j'ai besoin de toi.
Tu es la lumière et la beauté.
Tu es là dans mon cœur.
Ta Betty qui t’aime maman
Dieu, te protège maman Incha Allah
Affectueusement, maman !
Maman ce texte que je t'envoie aujourd'hui...C'était juste pour te dire que je pensais à toi !
Merci de ce que tu m'apportes depuis toujours : ta confiance, ton encouragement et ton amour…Je t'aime ! Pour m’avoir donné la vie aussi et les mères, connaissent bien le sens de ces mots !
Tout a été écrit sur les mamans mais la plus belle mélodie est encore de te murmurer…
Je t'aime Maman ... C’est un mélange de joie et de bonheur et le début de souffrances causées par les changements biologiques et physiques, maman tu m’as porté pendant neuf long mois.
Tu as porté la joie dans ton ventre, tu te levais avec difficulté, tu dormais avec difficulté, mais tout cela n’a rien changé à l’amour que tu porte pour moi.
Au contraire l’amour s’est renforcé de plus en plus avec le temps et l’envie de me voir encore plus. Tu m’as porté jour après jour, souffrance après souffrance et peine après peine.
Dieu, le très haut, a parlé des peines de la mère beaucoup plus que celles du père : ((Et nous avons enjoint à l’homme la bienfaisance envers ses parents. Sa mère l’a péniblement porté et péniblement accouché. Grossesse et sevrage en trente mois, puis quand il a atteint ses pleines forces et atteint quarante ans, il a dit : ‘Ô Seigneur ! Dispose-moi pour que je rende grâce du bienfait dont Tu nous a comblé, moi et mes parents’)) (Coran XLVI, 15). Ta joie était grande à chaque mouvement, à chaque prise de poids et tout cela était lourd à supporter surement. Une longue période de souffrance éclairée par une lueur de joie en cette nuit où tu n’as pas dormi, ou la douleur, la peur, l’émotion que tu n’arrive pas à décrire ni à exprimer t'ont envahi. L’extrême douleur t’a empêchée de pleurer en regardant la mort de près plusieurs fois. Enfin venant au monde, mes cris enlevant toute peine et douleur, accompagnaient tes larmes de joie. Tu t’es penchée difficilement pour m’embrasser avant que je ne sois touché par une simple goutte d'eau. Les années sont passées et tu m’as toujours eu dans ton cœur, tu m’as lavé de tes propres mains, tes jambes et tes bras étaient ton berceau quand tu veillais pour que je puisse dormir. Tu t’es fatiguée et tu t’es surpassée pour que je sois heureuse ; ta seule joie était de me voir sourire. Et ta joie de tout instant était que je puisse te demander un service, c’était ton bonheur. Les soirées sont passées ainsi que les jours et toi toujours à mes services, une mère infatigable et ouvrière sans répit priant Dieu toujours pour moi qu’il me comble de bonheur et de prospérité. Pour cette raison Maman je t'aime pour tous les instants que tu as empruntés à la vie pour me caresser parce que tu m'aimes. Je voulais depuis longtemps, te dire maman chérie ce qui semble si difficile à exprimer… Je t'aime pour tout ce que tu m'as donné les peines et les joies que je t'ai apportées les larmes que tu as séchées de m'avoir trop aimée. Je t'aime de m'avoir enfantée, de m'avoir chouchoutée, consolée, cajolée…Je t'aime de m'avoir aimée tout simplement....C’est toi maman qui m’a entretenu, qui m’a nourrit de tout ton corps et aux dépens de ta santé, qui s’est exposé au danger lors de l’accouchement et de l’allaitement, ce qui entrave ta liberté de mère et réduit l’espace de ton mouvement. Maman pour cette raison, Dieu considère le père et la mère comme égaux dans la responsabilité à l’égard de l’enfant et dans le devoir de bienfaisance de ce dernier à leur égard. Cette égalité est signalée dans beaucoup de versets coraniques, mais la mère à beaucoup de mérites en raison de ses peines dans la grossesse et l’accouchement. Dans ce sens, la tradition prophétique dit que « Le Paradis est sous les pieds des mères ». Le droit de la mère revient au fait qu’elle nous a porté là où personne ne supporte personne, qu’elle nous a donné du fruit de son cœur ce que personne ne peut donner à personne, qu’elle nous a protégé par la totalité de son corps sans se soucier de sa faim pour nous donner à manger, de sa soif pour nous donner à boire, de son dépouillement pour nous habiller, du soleil brûlant pour nous ombrager, d’avoir des insomnies pour nous procurer le sommeil. Elle nous a protégé de la chaleur et du froid et il n’est dans notre pouvoir de la remercier que par l’aide de Dieu. Il est clair que ce que la mère procure à son enfant ne peut être procuré par personne à quiconque d’autre.
Moussa Fils d’Imran (Moïse) (p) a dit : « Seigneur ! Fais-moi une recommandation ! ». Dieu a répondu : « Je te recommande de ne pas m’oublier » et Il l’a répété trois fois. Moïse (p) a demandé une deuxième fois : « Seigneur ! Fais-moi une recommandation ! »Dieu a répondu : « Je te recommande de ne pas oublier ta mère ». Et comme Moïse (p) demandait encore une recommandation, Dieu lui a recommandé sa mère trois fois et son père une seule fois ».
Le Noble Coran a recommandé de ne pas maltraiter les parents même par le plus infime des mots : « Si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse près de toi ; alors ne leur dis point : « Fi » et ne les repousse pas, mais dis-leur noble parole. Et par miséricorde baisse pour eux l’aile de l’humilité et dis : « Ô mon Seigneur ! Fais-leur miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit » (Coran XVII, 23-24). Cette humilité ne rabaisse pas l’homme mais l’élève car elle est l’humilité de la miséricorde. Qu’Allah récompense les mamans pour leur dévouement, leur abnégation et leur amour. Qu’il pardonne leurs péchés et récompense généreusement leurs bonnes actions…Qu’il leur octroie le Paradis. Que nul n'oublie sa mère. Le Paradis est sous ses pieds. Le bonheur est en ta présence Maman. Ta fille Barbara
Bonne fête a toutes les mamans du monde ...
